Quand le théâtre investit la scène de la salle communale

Comme prévu, la troupe « Y A D’LA JOIE » de Vigneulles était venue présenter sa nouvelle création. La salle était comble (80 entrées payantes pour être précis, ce qui doit constituer un record) pour venir applaudir ces comédiens amateurs mais bourrés de talent.

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Liliane, présentait tout d’abord le menu qui s’articule autour de trois saynètes.

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La première, d’après Courteline permet de prendre le thé chez les Boulingrin…

010…mais tout ne se passe pas comme prévu et l’on en vient même aux mains…

013…mais, finalement, tout se termine en chanson !

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Ensuite, le prologue, écrit par Liliane, permet de découvrir une scène de rue avec des passantes très pittoresques, dissertant sur Beaudelaire, Flaubert et Madame Bovary et même du mariage pour tous !

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En troisième partie arrive la célèbre « affaire de la rue Lourcine » d’après Labiche. Crime crapuleux s’il en est dont se croient coupables deux bourgeois ayant fait un peu trop la fête la nuit dernière et dont un parapluie vert à tête de singe est une pièce très importante…

033Bien sûr, le domestique (très original) vient mettre son grain de sel…

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…et le repas permet de détendre l’atmosphère en chantant « La Madelon »…

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…mais l’arrivée de la famille ajoute au désarroi du mari, dépassé…

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…et après bien des rebondissements, tout se termine une nouvelle fois en chanson : « C’est aujourd’hui dimanche, et ma jolie Maman, j’avais ces roses blanches etc… » que tout le public reprend en chœur avec les comédiens.

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Le spectacle se termine par la chanson de Charles Trenet : « Y’A D’LA JOIE » hymne de cette troupe particulièrement sympathique et talentueuse.

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Pour terminer la soirée, Liliane aura le dernier mot pour remercier tous ceux qui ont permis de monter cette pièce et pour présenter les comédiens.

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